Le sourire ça se travaille

Il faut savoir que petite j’étais dans mon coin, timide et pleine de peurs…
Comme ça on ne dirait pas, n’est ce pas ?

Et bien c’est parce que petit à petit j’ai appris à sourire ! Ca n’a pas toujours été évident ! Pensez bien qu’à l’adolescence, il m’était impossible de prendre une photo car dans ma tête c’était la honte (bon on ne sait pas en quoi sourire est la honte mais c’était comme ça!)

Aujourd’hui, à l’heure où les selfies sont monnaie courante pour tous, petits et grands, je me rends compte que les sourires ne sont que virtuels. Tout le monde à une vie de dingue via les réseaux car il faut montrer à la terre entière que notre vie est géniale ! Sauf que quand vous vous promenez dans la rue c’est autre chose, visages fermés, stress…

J’ai remarqué que lorsque je souris à quelqu’un d’inconnu, il peut se passer 2 choses :
👉 soit une méfiance qui fait peur à voir et qui me fait remballer direct mon sourire
👉 soit (et c’est là où c’est magique!) un sourire en retour qui peut illuminer ma journée (et peut être même celle de cette personne!). Et même que parfois ce sourire entraine une discussion, du lien, une rencontre ! C’est ouf quand même !

Alors quand on voit ce que peut provoquer un sourire je me dis qu’il vaut la peine de l’entretenir, de le cultiver, de le diffuser dans la vraie vie (car sourire derrière un écran c’est bien mais niveau lien social on est ZERO !)

Ca fait partie de l’intelligence émotionnelle que de reconnaître qu’un sourire même timide peut provoquer une émotion chez l’autre et créer du lien.

Et vous, à combien de personnes inconnues souriez vous par jour ???

#sourire #collibri #intelligenceémotionnelle #émotions #positivité

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Virginie FLEUROUX, fondatrice de Coll’ibri

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